Titre : Les chroniques d'Utopia tome 1

Auteur : A.J. Laplace

Illustratrice : Noëlie Dayma

Langue : Français

Date de parution : second semestre 2016

Editions : Auto-édition

Genre/catégorie : Fantastique

Nombre de pages : 236

Prix : 15 €

Résumé

A deux ans, le jeune Alzâck, habitant de la Ligue, se fait kidnapper. Lorsqu'il se réveille, il a perdu la mémoire et se retrouve à l'Empire. Alzâck est sans magie et il est le seul à ne pas en avoir. Pourtant, il est craint et respecté. A quatorze ans il est le meilleur Stratège d'Utopia. Alors qu'il œuvre dans le but d'accomplir son rêve – devenir capitaine Corsaire malgré son mal des transports -, sa vie bascule quand il rencontre Saarah Redblood, une Vampire. Il s'éveille alors en tant qu'Avatar.

Mon avis

Je n'ai pas réussi à accrocher. Les illustrations sont magnifiques, l'intrigue est intéressante et les personnages sont plaisants mais l'univers est peut-être trop complexe. La description des bateaux et du monde d'Utopia, les noms compliqués des personnages, ne permet pas toujours de bien pouvoir se situer ou visualiser l'espace... J'ai eu du mal à me situer sur les bateaux avec tous les noms des endroits, alors que je n'y connais rien aux navires. Je n'ai donc lu que le quart de ce livre mais je ne compte pas le poursuivre. En revanche il pourrait plaire à tous ceux qui aime ce genre de livres fantastiques, peuplés de créatures et qui réussiraient à visualiser l'univers créé par l'auteur. J'ai beaucoup aimé l'idée que le plus grand stratège d'Utopia soit un enfant et l'amitié Alzâck-Mélissa-Alex-Arcadiia-Grégory. Mais l'histoire des sucettes me perturbe.

C'était une bonne intrigue mais je n'ai pas réussi à apprécier Utopia...

10/20

Extrait

« C’est alors qu’un bruissement de feuille me fit sursauter et retint grandement mon attention. Étais-je bel et bien seul ?

 — Il y a quelqu’un ? tentais-je.

 — Personne ! répondit presque aussitôt une petite voix féminine

 — Abrutie ! railla une nouvelle voix féminine juste après.

(...)

 — Vous pouvez approcher, dis-je, je ne mords pas.

 — Comment qu’il nous parle, l’Humain ! s’écria la plus jeune.

(…)

 — Dîtes moi, c’est rare de croiser des Vampires, par ici. C’est moi qui vous ai attirées ?

 Je les entendis lâcher une légère stupeur.

 — Grande sœur, comment il a su ?

 — Ça, dis-je, même en lisant dans mes pensées vous ne le saurez pas.

 — Certainement un coup de chance, répondit la grande sœur.

 Je ris.

 — Sûrement pas. »