• Le copain de la fille du tueur

    Le copain de la fille du tueur

    Titre : Le copain de la fille du tueur

    Auteur : Vincent Villeminot

    Langue : Français

    Date de parution : 25 août 2016

    Editions : Nathan

    Genre/catégorie : Romance, Suspens

    Nombre de pages : 263

    Prix : 16,95 €

     

    Le copain de la fille du tueurRésumé

     

    Dès qu'il la voit, Charles est bouleversé par Selma : mystérieuse, solaire, solitaire… et fille d'un célèbre narcotrafiquant. Lui, il est le fils d'un grand poète en fin de vie. Tous les deux viennent d'intégrer un internat pour "gosses de riches" au cœur des montagnes suisses. Et tous les deux vont s'autoriser à tomber amoureux, follement, malgré la mort du père de l'un, et la menace du père de l'autre…

     

      

    Mon avisLe copain de la fille du tueur

     

    J'ai adoré ! On rit dès les premières pages avec un Touk-E hilarant et les surnoms qu'il donne à Charles sont à mourir de rire ! On suit avec passion l'amour entre Selma et Charles. Ce livre est le premier que je lis de cet auteur et j'aime beaucoup sa façon d'écrire, très décontractée, un peu vulgaire mais pas trop, pour coller au sujet du livre. J'ai pendant longtemps détesté le personnage de Selma au début du livre, je ne sais pas pourquoi... Mais j'ai beaucoup aimé Charles et Touk-E était mon personnage préféré !

    Au final j'ai eu la chance de recevoir ce livre avant sa parution cet été, grâce à un concours, et je me suis mise à le lire uniquement pendant Janvier 2017... J'aurai dû le ire plus tôt, parce qu'il était vraiment bien !

    C'est un vrai coup de cœur !

     

    20/20

     

    Le copain de la fille du tueurExtrait

     

    • - Je crois que le temps est venu pour moi d'entrer dans le grand monde. Vous vous entraînez ce soir ?

    Il se joignit à notre équipe.

    Sur le terrain de foot, il se comporta presque « normalement » – chambrant au bout de quelques minutes ceux qui rataient une passe, appelant la balle à grands cris, replaçant et rebaptisant les joueurs, m'appelant Charles-Darwin ou Charles-Ingalls à tout bout de champ.

    Je voyais les regards incrédules de nos coéquipiers aller de lui à moi.

    En rentrant chez nous, il m'annonça qu'il s'était trouvé maladroit, trop familier : il devait, avant de rencontrer le reste de nos condisciples, faire plus ample connaissance avec eux pour éviter de nouveaux impairs. Nous allâmes donc tous les deux, en pleine nuit, forcer la Direction des études, au manoir ; et nous passâmes plus de deux heures, avec nos lampes de poche, à parcourir les dossiers des élèves de terminale inscrits au baccalauréat.

     

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